J’entrouvre le sens
mes orties blanches nuits
je me donne en pâture
à mes rêves dévêtus
ni ne tue ni ne resserre l’étau
fulgure l’iris du miroir d’icelle
noyade naïade nuit
apnée du faire comme si
l’aube de justesse
pouvait encore me sauver
du tout écrit d’un cri d’oiseau
bien placé pour le dire
et rompre les rangs de l’absence
sans jamais y toucher